Marcel Bleustein, réputation bancaire
Les débuts de Marcel Bleustein. Renseignements bancaires fournis par la Société Générale adréssés de manière confidentielle à J.A. Goldschmidt et compagnie, sur Marcel Bleustein (domicilié boulevard Péreire), fondateur et administrateur de la société Publicis.
Extrait : "Sérieux et actif, entreprenant quoique encore jeune, est à la tête d'une certaine fortune, appartient à une très bonne famille et fait honneur à ses engagements." Signale qu’il est propriétaire d’une automobile.
- Date de publication
- 1935-12-31
- Siècle
- 20
- Régime ou époque
- Entre deux guerres
- Région
- Europe de l'Ouest > France
- Lieu d'édition
- Paris
- Pays d'édition
- France
- Parcours de vie
- Marcel Bleustein (Publicis)
- Thématique
- Finance
- Type de document
- Lettre tapuscrite
- Langue principale
- français
- Format
- In 4
- Nombre de pages
- 3
- Propriété
- Collection Nicolas Philippe
- Remarques sur le contexte historique
"En 1935, Marcel Bleustein achète la station de radio privée Radio LL, qu'il rebaptise Radio Cité. Il affirme avoir introduit en France le premier journal parlé10 et permet à Édith Piaf, amenée par Jacques Canetti, alors directeur artistique de la station, de chanter à la radio pour la première fois de sa carrière. C'est aussi l'homme qui invente les “slogans chantés” pour la radio. La station confère à Marcel Bleustein une stature nouvelle et lui permet d'accéder aux plus hautes personnalités de l'État. Lors de l'annexion de l'Autriche par Hitler, le président du Conseil Léon Blum, réveillé en pleine nuit, se rend à Radio Cité pour y effectuer le premier commentaire d'actualité à chaud et en direct de l'histoire de la radio française." (wikipedia)
- N° boîte
- B01
- N° d'inventaire
- D042a
- Permalien
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