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François Thiriot solde ses dettes envers David Halphen (1750)

Acte notarié passé le 23 janvier 1750 en la même étude, constatant la perception par le Juif David Halphen, de Metz, des mains de François Thiriot, vigneron à Roselieure et de Suzanne Gallois, sa femme, la somme de 1142 livres 18 sols 6 deniers. Cet acte semble solder définitivement les divers engagements contractés par Thiriot et sa femme à l'égard du Juif Halphen.

Il est à remarquer que le terme "Juif" semble remplacer, sans aucune intention péjorative, une qualification comme celle de banquier ou d'usurier. Les emprunteurs n'y mettaient pas malice et les Juifs ne s'en formalisaient point.

Voir documents en lien :

David Halphen, Juif de Metz consent un prêt à François Thirion pour les besoins du ménage (1746)

David Halphen, Juif de Metz, prête au vigneron François Thiriot qui remboursera sa dette en bon vin sans mélange et bouché à la façon des Juifs (1749)